Vendredi 21 août
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14:29
Quitter un endroit pluvieux pour se diriger vers la chaleur des côtes ensoleillées. Qui n'a jamais rêvé de cela? Maîtresse
Démonia a décidé de partir là où le temps est plus clément.
Lassée de mes anciens soumis, j'ai envie de me reconstruire un nouveau donjon. Oui, des soumis qui sont déjà à mes pieds
depuis longtemps, je n'y vois plus l'intéret, je claque toujours les mêmes fesses, écrase toujours les mêmes paires de couilles, et en plus, j'ai beau les masquer pour ne pas voir leurs
misérables visages, j'ai du mal à en imaginer de nouveaux. Il est grand temps pour moi de partir.

Ah il ne faut pas penser que je vais esquinter mes ongles et mon dos en faisant mes cartons. Mes soumis le feront pour
moi. Moi, je reste là, assise sur mon grand canapé, en regardant trois d'entre eux s'affairer dans la cuisine, ranger ma vaisselle dans des cartons en prenant bien soin de ne rien abîmer. Je mène
tout à la baguette... ou devrais-je dire à la cravache.
Je pars bientôt, je me lasse, mais j'ai toujours des envies folles de les rabaisser plus bas que terre.
Soudain l'un d'entre eux, bousculé par un autre, laisse tomber une assiette et la casse. Ce bruit me sort de mes pensées,
et je regarde l'assiette blanche au sol, brisée en trois gros morceaux. Je lance un regard noir à cet imbécile qui a osé la briser, et en retour, ce dernier, me regarde, apeuré, avec une goutte
de sueur qui perle sur sa tempe. Il balbutie alors :
" Maîtresse, pardon, ce n'est pas moi, c'est lui qui m'a..."
"T'ai-je demandé de parler? "
" Non, pardon maîtresse."
" Ramasse et jette-moi ça."
Il se baisse pour récupérer les trois misérables morceaux d'assiette, qu'il heurte les uns contre les autres en les
effritant un peu, puis va les jeter dans la poubelle.
"Voilà maîtresse."
"Non, regarde au sol. Tu as effrité les assiettes, et tu en as mis partout !"
"Je vais prendre l'aspirateur maîtresse."
"Non, tu ramasse avec ta sale petite queue."
Je crache sur sa sale queue pour l'humidifier, afin que les petits morceaux restants se collent dessus. Il se baisse,
écarte les jambes et colle un à un les morceaux d'une pression de sa misérable petite bite. Il se relève ensuite pour secouer le tout dans la poubelle. Entre temps, j'ai fait signe aux autres de
placer plusieurs cartons devant moi, ce qu'ils font immédiatement. Lorsque le petit sot revient devant moi, il regarde les cartons d'un air inquiet.
Je lui attrape une oreille pour le forcer à se baisser par dessus les cartons. Une fois son cul nu face à moi, je prends
dans un tiroir une fourchette et deux cuillère à soupe. Sans préparation de son sale cul, j'y enfonce le manche de chacun en savourant les gémissements de mon soumis. Seules les extrémités de
chaque couvert reste visible, tout le reste est dans son sale anus.
J'ordonne aux autres de continuer à ranger. Et autorise enfin le petit sot à se lever.
"Tu les garderas dans ton cul jusqu'à ce que toutes mes affaires soient rangées !"