L'antre de Maitresse Demonia

C'était un soir d'été, il faisait beau. Le ciel étoilé cachait son visage fin et ses petits yeux marrons de coquine. Une soirée dans un bar à discuter avec elle. Je l'avais trouvée fort sympathique mais je dois avouer que j'avais décelé dans ses yeux une facette à la fois prude et complètement chienne soumise. Cela ne me paraissait pas étonnant, de nombreuses asiatiques sont de la sorte. Derrière cette attitude de petite fille sage se cachait une grosse salope comme je les aime.

J'avais clairement envie de la mettre à mes pieds et la traiter comme la chienne qu'elle est.Je l'avais proposé de venir boire un dernier verre chez moi, elle a hésité un moment, puis a accepté.

Assise, les jambes bien serrées dans sa petite robe rouge moulant son corps fin et ses petits seins, elle me regardait avec comme une lueur de peur dans son regard pendant que je lui versais sa boisson.

"Tu as peur de moi?"

Elle ne répondit pas et baissa les yeux. Cette attitude de soumise réveilla en moi l'ardeur de la maîtresse que je suis. Je m'assis à côté d'elle puis passait une main sur sa cuisse pour la remonter encore et encore, jusqu'à ce que ses joues rougissent de honte.Elle laissa s'échaper ces quelques mots "Je ne l'ai jamais fait avec une fille". Je n'y prêtais pas attention et continuais mon petit jeu, jusqu'à atteindre sa culotte en soie noire que je commençais à écarter un peu. Mon doigt éffleura quelques poils avant de se glisser plus loin en se faufilant entre les lèvres qui n'étaient pas encore humides.

"ça ne t'excite pas?"

Elle enfonça timidement ma main un peu plus loin et je constatait qu'elle était en fait bien mouillée comme il le fallait. Je lui ai alors hoté sa robe et me suis emparée de sa petite culotte.

"On va jouer mainenant."

Violemment, je lui ai enfoncé la culotte dans la bouche puis lui ai saisi sa chevelure noire lisse.

"Embrasse mes chaussures !"

Elle s'exécuta sans même me poser de question, elle se mit à genoux et se pencha sur mes chaussures. Ses lèvres charnues se posèrent délicatement sur mes chaussures noires. La petite salope osa sortir sa langue pour les nettoyer, et je l'ai repoussée d'un coup de semelle sur l'épaule, son dos heurta la table basse lorsqu'elle perdit l'équilibre.

"Je ne t'ai pas demandé de faire ça, petite sotte !"

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