L'antre de Maitresse Demonia

Toi, tu travailles, tu trimes, tu craches, pendant que ta maîtresse t'attend de pied ferme chez toi, avec ses noirs desseins. Tu ne sais pas ce qu'elle te réserve, mais cela risque de te t'anéantir.Tu ne sais plus exactement depuis combien de temps tu es sous son emprise, mais ce que tu sais, c'est que tu es à ses pieds, que tu la vénères et ne penses qu'à elle, alors qu'elle ne fait que te mépriser et te torturer ta pauvre queue.

Sur le chemin du retour, tu n'y penses même plus, pour toi c'est normal, elle te fera forcément quelque chose ce soir. Tu es son objet sexuel depuis longtemps et pour rien au monde tu ne changerais de situation.

Tu arrives chez toi et ouvres la porte. Elle a fermé les fenêtres, il fait sombre, tu ne vois même pas le bout de ton nez. Et lorsque tu tâte le mur pour tenter d'allumer la lumière, un violent coup de cravache s'abat sur tes pauvres doigts. Tu sais qu'elle n'est pas loin, ta maîtresse. Tu tentes de la chercher aveuglément jusqu'à ce qu'elle t'attrape par le col et te mette à genoux, face près du sol. Elle glisse alors ses chaussures entre ta sale bouche et le sol. 

" Nettoie-les ! "

Cet ordre qui s'abat sur toi en même temps qu'une bonne claque sur tes fesses te pousse à sortir ta langue et la passer longuement sur les chaussures divines de ta sublime maîtresse.

Pendant que tu nettoies ses chaussures, tu sens une chose rigide, un peu irritante te passer autour du cou. Un collier. Elle va encore vouloir faire de toi son petit chien ce soir.

"On va jouer un peu, tu es mon petit chien"

Une fois le collier de cuir noué à ton petit cou de clébard, ta maîtresse passera une corde dans le collier, et te forcera à avancer vers une petite lumière que tu vois au loin. Une bougie est allumée sur une table basse en bois. Tu t'y approches et vois une vulgaire gamelle à côté de la bougie.

Les yeux pleins de questions, tu te retournes vers ta maîtresse, et avant même que tu puisses voir son regard froid, une gifle de sa main te fait tomber au sol.

" On baisse les yeux, sale chien"

Encore abasourdi par la gifle tu ne comprends pas ce qui t'arrive. Et en deux secondes, tu t'es fait déshabiller par ta maîtresse et tu sens sa cravache qui titille ton anus. Cet anus qui a tant souffert hier, et qui, tu en es persuadé, va encore souffrir ce soir.

Sans même attendre que tu sois prêt, ton anus se fait pénétrer violemment par ce gode qui t'a tant fait souffert. Et elle l'agite jusqu'à ce que tu gémisses de douleur...

___________________________________________________________