L'antre de Maitresse Demonia

Tu m'as écrit un soir, peut être en recherchant une quelconque attention de ma part.

"Assise dans votre fauteuil , d'un doigt vous me montrez le chemin allant jusqu'à vos divins pieds. Magnant à la perfection le martinet vous me faites signe d'approcher. D'un seul claquement , je sais déjà ce qui m'attend. M'ordonnant de m'agenouiller j'obéis avec fierté. Vous placez vos pieds sous mon nez , je commence à les embrasser puis retenti 2 coups de fouet que vous m'avez donné car je n'ai pas été autorisé à les embrasser. Je vous demande pardon ma Maitresse bien aimée. Vous jugez d'une sevère correction  , mes pleurs seront mes mercis pour cette punition . Vous decidez d'arreter  me donnant l'ordre d'aller au piquet. A nouveau assise dans votre fauteuil vous reflechissez  afin de faire de moi un soumis bien dressé. Respectueusement votre Maitresse."

A toi qui veux que je fasse de toi l'idéale soubrette, je t'ai ordonné de venir à mes pieds. La froideur que tu vois dans mon regard te glace le sang, mais tu ne ressens qu'une envie, c'est de m'embrasser ces pieds qui t'écraseront la face si jamais tu désobéis. Je te frappe et te repousse alors que tu as embrassé ces pieds avec tant de douceur qu'une femme quelconque aurait fondu de plaisir. Mon plaisir à moi est de t'affliger toujours plus !

Tu possèdes des objets de ta maîtresse et tu as envie de les porter, car tu sais qu'elle a envie de te voir déambuler en talons, avec une petite culotte et une robe bien courte qui dévoile ton petit cul de soubrette. Une fois que tu les porteras, en te regardant, tu ressentiras la honte d'avoir voulu porter ce qui appartenait à ta maîtresse, car jamais tu n'égaleras sa grâce lorsqu'elle porte ces derniers.

A toi, soumis poète, laisse-moi m'emparer de ta pauvre âme perdue, elle se sentira toujours mieux entre mes mains cruelles.