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Samedi 3 octobre
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Certains aiment parler de leurs fantasmes, d'autres cherchent des personnes pour les réaliser.
George Bernard Shaw à écrit: « Il y a deux tragédies dans la vie. L’une est de réaliser ses rêves. L’autre est de ne pas les réaliser. » C'est la même chose pour les fantasmes. Ne dit-on pas qu'une fois qu'un rêve est réalisé, on doit en chercher un autre? Certe course du rêve est l'essence même de l'être humain, sensible parce qu'il a des rêves, sensuel parce qu'il a des fantasmes.
Venez parler librement de vos fantasmes, n'ayez pas honte car tout le monde en a. Nous sommes tous curieux de les connaître. Echangeons donc !
Venez sur mmmmmm.fr, et rejoignez une communauté d'amoureux du fantasmes. Certains veulent dominer, d'autres veulent juste de la douceur. Pour tous les goûts, pour tous les rêves, c'est juste parfait
Peut être connaîtrez-vous les miens !
source : http://www.mmmmmm.fr/
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Ma faiblesse d'homme fétichiste des pieds vêtus de bas ou de collants me fait m'agenouiller en vous déchaussant délicatement. J'embrasse avec honneur vos divins pieds, j'administre des caresses, je suçote vos orteils et fais glisser ma langue sur vos plantes. Subjugué et envoûté, l'effet de votre prestance et du pouvoir de vos pieds provoquent une " déformation " dans mon caleçon. Je souris et dans un élan de confiance lève les yeux vers votre visage...nonnn quelle erreur, vous précisez bien sur votre blog que nos yeux de pauvres mâles doivent rester baissés !
Je me lève fébrilement. J'écarte les jambes, les yeux rivés sur vos trésors que sont petons. Votre pied vient se poser doucement sur ma virilité. Il descend et se positionne. Votre sourire se devine quand votre pied palpe puis soupèse mes couilles. Je tremble de plaisir et de peur. Je suis sous votre emprise. Le premier coup de pied part, dosé, léger mais assez douloureux pour que je grimace et me penche en avant. Je vous remercie et me faites l'honneur d'embrasser votre pied. Toujours en position, j'appréhende le second coup. Plus fort que le premier, je gémis puis résiste pour ne pas m'effondrer au sol comme une larve. Un merci tremblotant sors de ma bouche, tandis que votre pied se lève à hauteur de ma bouche pour que je le vénère. Ces si beaux petons que je massais sont à présent en train de dire bonjour à leur façon, à mes couilles. Et le moins que l'on puisse dire c'est que pour mes valseuses, le match va être difficile à remporter.
La suite ce n'est effectivement que le résultat logique d'un ballbusting...petit à petit bien que dosés vos coups de pied m'affaiblissent, votre voix et vos rires me font comprendre ma place et là elle n'est plus debout pour longtemps...un coup subtil et inattendu vient claquer mes couilles, je m'effondre au sol en position foetale, j'ai perdu. Heu ah oui " merci Maîtresse Demonia ", la douleur et l'humiliation ne doivent pas faire oublier les remerciements, le respect et la politesse. Toujours assise sur votre fauteuil, vous m'ordonnez de m'allonger afin de vous reposer. Vous me faîtes toutefois l'honneur de déposer vos pieds sur mon visage. Encore une fois, merci Maîtresse.
Et voilà, j'ai joint le thème à votre photo :-) pardon si ce message est trop long, Maîtresse Demonia. Bonne continuation à votre blog !
Je te vois à genoux, pendant que je joues avec ma chaussure du bout de mes orteils, tes yeux montent et descendent en suivant le mouvement de cet objet qui orne mon pied. Sans que j'ai besoin de te le dire, tu me l'ôte, afin de contempler mes jolis pieds cachés par mes collants soyeux. Ils ne font pas long feu sur mes jambes, voilà mes pieds nus sous ton misérable nez. Tu les embrasses comme apeuré d'y aller trop vite. Et moi, je vois cette bosse dans ton caleçon, et je n'ai qu'une envie c'est de l'écraser, la maltraiter, la réduire à néant cette bosse. Non, ne me regarde pas ! Trop tard, tes yeux de chien battus ont croisé les miens. Je vais te faire mal, très mal.
Je pose mon pieds, comme pour t'avertir qu'un coup s'abattra sur toi et sur ce qui te reste de virilité. Elles sont molles tes couilles, elles sont lourdes, bien pleines, et ton pénis est si dur que je me demande s'il ne va pas avoir du mal à reprendre sa forme initiale. Des coups inombrables te massacrent les couilles, jusqu'à ce que ton sale pénis se recroqueville sous la douleur de ses deux sacs. Je me moque de toi, pauvre merde, mais toi, tu ne dois même plus m'entendre vu la position que tu adopte. En boule tel un misérable parasite, tu laisses échapper un "merci maîtresse" c'est bien ce que j'attendais. mes pieds se posent alors sur ta sale gueule de vermine. Prends-le comme un honneur, peu d'hommes ont l'opportunité de me servir de paillasson.